2K et Firaxis Games dévoilent une nouvelle vidéo sur comment “l’expansion des villes” aura un impact sur la jouabilité dans Sid Meier’s Civilization VI, disponible le 21 octobre sur PC.

Dans Civilization V, les joueurs ajoutaient des constructions à la file d'attente, les bâtiments étaient érigés et tous cohabitaient sur l'écran de ville. Pour Civilization VI, nous avons choisi de les laisser vivre, de façon à aérer un peu cet écran. En d'autres termes, les joueurs devront cette fois-ci réfléchir à l'ordre de leurs constructions, mais aussi prendre en considération les bonus de quartiers adjacents, ainsi que la compatibilité entre types de terrain et merveilles dans la périphérie de leur centre-ville.

Les stratégies sont multiples dans Civilization VI, et les réactions des joueurs seront principalement dictées par leur environnement, pour des parties chaque fois différentes.

L'expansion des villes a également des conséquences pour le combat. À mesure que les villes se propagent sur un territoire plus vaste, elles s'ouvrent également aux attaques, et des guerriers pourront prendre pour cible certaines cases spécifiques et ainsi paralyser l'infrastructure d'une ville pour mieux donner l'assaut sur son centre. De la même manière, les joueurs passifs qui avaient jusque-là recours aux fortifications devront désormais s'inquiéter du périmètre entier de leur ville s'ils veulent conserver cette stratégie dans Civilization VI. Vos cités seront désormais bien plus qu'un simple centre-ville !

Enfin, d'un point de vue visuel, l'expansion des villes apporte d'immenses modifications esthétiques à vos parties. Les villes semblent désormais plus variées et affichent leur croissance de façon plus distincte. Pour nous, ce changement est immense, non seulement parce qu'il permet aux joueurs de se sentir plus impliqués dans leurs choix et leur progression, mais aussi parce qu'il participe grandement à l'impression d'immersion dans le monde merveilleux de Civilization VI.

2K et Firaxis Games annoncent que Theodore Roosevelt sera à la tête des Américains dans Sid Meier’s Civilization VI, disponible le 21 octobre sur PC.

Roosevelt a pris les rênes du pays à l'âge de 42 ans, suite à l'assassinat de McKinley en 1901, ce qui fait de lui le plus jeune président de toute l'histoire des États-Unis. Roosevelt avait pour fer de lance son "Square Deal", un programme en trois parties : la conservation des ressources naturelles, un plus grand contrôle des corporations et la protection du consommateur.

Sa campagne contre le monopole des grands "trusts" industriels lui a valu le surnom de "trust buster", le "pourfendeur" de trusts. Il a mis en place le service des forêts des États-Unis en 1905 et combattu pour la conservation de millions d'hectares de terres fédérales, toujours protégés à ce jour. C'est aussi à Roosevelt que nous devons la phrase : "Parlez doucement, mais en brandissant un gros bâton", utilisée à l'époque pour décrire sa politique diplomatique, à savoir des négociations pacifiques, mais sous la menace de représailles. Selon lui, il s'agissait là de "l'exercice d'une prévoyance intelligente et d'une action décisive, largement en amont de toute crise éventuelle."

Unité exclusive : P-51 Mustang

Le P-51 Mustang, mis au point par les États-Unis au cours de la Deuxième Guerre mondiale, était un avion de chasse à longue portée et à haute altitude, conçu pour les combats aériens et l'escorte de bombardiers, mais aussi capable de mener à bien certains bombardements en solitaire. Le P-51 Mustang était bien plus maniable que les meilleurs chasseurs allemands de la Luftwaffe au-dessus de 4 500 mètres d'altitude, et pouvait même se montrer plus endurants que les chasseurs japonais, pourtant diablement efficaces. En 1943, le P-51 Mustang était sur tous les fronts de l'armée américaine.

Unité exclusive : Rough Rider

Le premier régiment de cavalerie volontaire, plus connu sous son surnom des "Rough Riders", a été formé par Theodore Roosevelt en 1898 afin de combattre lors de la guerre hispano-américaine. Ce régiment incluait 1 060 éleveurs de bétail, cow-boys, athlètes universitaires, mineurs et autres hommes robustes, tous issus du Nouveau-Mexique, du Texas, de l'Oklahoma et de l'Arizona.

Bâtiment exclusif : studio de cinéma

C'est Thomas Edison, le fameux inventeur et homme d'affaires américain, qui a créé le tout premier studio de cinéma à West Orange, dans le New Jersey, en 1893. Ce studio permettait de capturer sur films les mésaventures hilarantes de comédiens de théâtre et de vaudeville, de façon à ensuite pouvoir les diffuser dans des salles de jeux, des tentes de fête foraine et des théâtres. En 1920, une dizaine de studios du même type avaient ainsi vu le jour près d'Hollywood, en Californie, pour donner naissance à la plus grande de toutes les obsessions américaines et mondiales : le cinéma.