Afin de répondre aux attentes des entreprises, Intrum Justitia lance un nouveau logiciel Intrum Soft. Avec davantage de fonctionnalités, une architecture nouvelle, ce logiciel « full web » apporte une aide à celles qui souhaitent gérer leurs créances de manière autonome. Il contribue ainsi au déploiement d’une véritable stratégie de réduction des délais de paiement.
Dans la gestion et le recouvrement de créances, disposer d’un logiciel capable d’assurer en permanence le suivi des comptes clients et proposer un accès en temps réel aux informations est essentiel. Aujourd’hui, Intrum Soft, logiciel full web, répond à ce besoin. 
Avec Intrum Soft, Intrum Justitia offre à ses clients une solution globale. Au-delà des fonctionnalités traditionnelles du dispositif de gestion des créances, le logiciel propose une « boîte à outils » inédite : - outils d’aide à la décision
- données provenant de sociétés d’assurance crédit
- renseignements financiers pour maîtriser les risques
- module de gestion des litiges extrêmement complet.
Les entreprises peuvent ainsi contacter les clients débiteurs en s’appuyant sur des informations fiables fournies en temps réel. D’autres fonctionnalités rendent cette version plus simple, conviviale et performante. Les concepteurs ont, par exemple, introduit une interface word pour créer et modifier très simplement les courriers de relance. Cet outil, modulable et convivial, s’intègre parfaitement dans les systèmes d’information des entreprises et s’appuie sur les données comptables, de gestion, commerciales, CRM … ce qui permet de centraliser les informations sur une seule plateforme. De plus, Intrum Soft, grâce à son architecture full web, permet à tout intervenant (aussi bien interne qu’externe) de se connecter et avoir accès aux données en fonction des droits et habilitations qui lui ont été accordés. Cet intervenant pourra alors interagir au sein du logiciel pour garantir une fluidité maximale de la gestion du poste clients. Pour optimiser l’utilisation d’Intrum Soft, Intrum Justitia se met à disposition de ses clients à chaque étape nécessitant un accompagnement : analyse fonctionnelle, implantation, paramétrages, formation et après-vente du logiciel. Le coût de cet outil est de 20 000 € pour un pack de 5 licences (Intrum Justitia propose un tarif dégressif au nombre de licences). A ce pack, s’ajoutent les prestations d’analyse, intégration, installation, paramétrage, formation… Intrum Soft, témoignage … Le Groupe Moniteur, éditeur de titres de presse (Le Moniteur des travaux publics et du bâtiment, la Gazette des Communes…), organisateur de salons (Salon des Maires et des Collectivités locales…), animateur de formations et fournisseur de services autour du web, a choisi la solution logicielle Intrum Soft. « Nous avions passé au crible l’offre du marché, se souvient Frédéric Marsault, credit manager du groupe. Nous avons opté pour Intrum Soft car nous savions que, derrière l’offre purement logicielle, un groupe spécialisé dans le recouvrement pouvait prendre le relais de nos équipes lorsqu’elles sont confrontées à des pics d’activité. En outre, l’outil est paramétrable en fonction de nos problématiques, de nos spécificités… » Ses produits : « Des abonnements, des sessions de formation, de la publicité, des stands de salon, des petites annonces… » Ses clients : « Des personnes qui exercent des métiers difficiles et qu’il est impératif de ne pas vexer », prévient Frédéric Marsault. Concrètement : des collectivités publiques et des administrations (de la petite mairie au ministère) ainsi que des entreprises privées (de la TPE au très grand groupe). » Ses besoins : « Nous avions revu notre organisation afin de réduire nos délais de paiement mais souhaitions nous améliorer, réduire nos coûts de structure, en maximisant la productivité, en automatisant les processus, en évitant les opérations manuelles, les ruptures de charge…. Tout ceci en maintenant la satisfaction du client. Nous étions conscients qu’il nous fallait être irréprochables dans la démarche de back-office, dans notre cycle après-vente et nous avons pris conscience qu’il nous fallait un outil pour gérer tout ça.»
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