Ericsson est présent au MIPTV 2009 à Cannes, le marché international des contenus audiovisuels et numériques. Cet événement est l’occasion pour Ericsson, en tant qu’acteur majeur dans le Multimédia, de participer aux débats et de présenter des solutions technologiques qui répondent aux attentes des consommateurs : une télévision où l’on veut, quand on veut et ce que l’on veut.

Le Consumer Lab d’Ericsson a mis en évidence, dans son étude « Usages et attitudes sur la TV Mobile et l’IPTV » en 2007, que 100% des personnes regardent plus volontiers la télévision sur mobile quand l’interactivité est disponible.

Dans une autre étude menée en partenariat avec CNN fin 2007 sur les attentes des utilisateurs de CNN.com sur leur mobile, la télévision en direct était l’application qui arrivait en tête des préoccupations avec 34,3% des personnes interrogées.

Une autre attente forte est de se libérer des grilles de programmation traditionnelles. Selon la seconde étude CNN/Ericsson de mars 2009 portant sur le futur de la télévision, 34% des personnes interrogées estiment que la flexibilité (la possibilité de regarder la TV quand on veut) est la raison principale dans le choix de regarder du contenu en ligne.

Par ailleurs, cette étude confirme que la connexion se fait en grande majorité lorsque l’on est dans une situation d’attente (60%) ou dans des transports publics (53%). Ericsson participe activement à ces transformations et à ces évolutions des attentes des consommateurs dans le domaine des technologies télévisuelles et multimédia.

Ericsson fournit déjà des solutions technologiques et de consulting pour une télévision plus personnelle, vraiment interactive, et totalement convergente. Aujourd’hui, plus de 60 opérateurs utilisent des solutions vidéo et TV mobile fournies par Ericsson sur les 180 actuellement en exploitation commerciale dans le monde via des réseaux 3G/3G+.

A l’occasion du MIPTV à Cannes, Ericsson propose des démonstrations de ses solutions technologiques :

• La télévision convergente : cette solution permet de bénéficier des mêmes services sur l’écran de sa télévision, de son ordinateur portable, de son mobile tout en interagissant et partageant des contenus en direct avec ses amis et ses contacts.
• Me-on-TV : cette plate-forme permet l’acquisition et la diffusion vidéo en temps réel de n’importe quel écran vers n’importe quel écran. De nouvelles opportunités sont offertes aux entreprises de Média (envoi d’images en direct à partir d’appareils mobiles, possibilité pour le téléspectateur de transférer, publier et partager des contenus vidéo en direct, …). Ericsson et la chaîne suédoise SVT ont notamment utilisé cette technologie lors des éditions 2008 et 2009 de la célèbre course de ski de fond, la Vasaloppet.
• L’infrastructure IPTV : c’est une méthode de distribution et de transmission du contenu multimédia via un réseau IP à haut débit ou très haut débit. Cette infrastructure permet le développement de nouveaux services interactifs (comme le choix de la caméra de retransmission d’un événement) et une personnalisation poussée de l’écran et des services pour chaque membre d’une famille.
• La TV & Vidéo mobile : services de télévision mobile (TV classique, à la demande et en podcast).

« Dès 2008, nos acquisitions, notamment Tandberg Television, et nos investissements dans le multimedia ont commencé à payer dans de nombreux pays, en particulier dans les domaines du "revenue management" et des plateformes de gestion de services (SDP).

En France, notre objectif est de croître sur le segment des applications et services IP, et d'être le partenaire technologique de référence des opérateurs télécoms et des diffuseurs média dans la convergence numérique des contenus et des terminaux » déclare Guy Roussel, président d’Ericsson France.

Par ailleurs, Ericsson partage son expertise lors de deux tables-rondes le mercredi 1er avril avec l’intervention de Kurt Siller, vice-président Ericsson Mobility World, sur le thème « La télévision partout ! » et d’Erik Kruse, strategic marketing manager, sur le thème « Toucher les médias sociaux : le pouvoir des communautés »