Même si le jeu vidéo a reçu ses lettres de noblesse pour son bienfait sur le psychisme des joueurs il traîne toujours derrière lui une odeur de souffre pour certaines associations et Don Quichotte de la protection de nos chères têtes blondes, à l'instar de Familles de France qui juge GTA IV comme le diable.

L'association française de défense de l'innocence de nos chères têtes blondes monte aux créneaux et juge le jeu vidéo  "Grand Theft Auto" GTA pour les intimes comme douteux, notamment à cause de son contenu qui fait la part belle à la violence gratuite, au bain de sang, au sexe et à la drogue.

"Comment mettre en valeur un jeu dont le principe de réussite pour le joueur est de voler, tuer, trafiquer, c'est-à-dire commettre (...) Le maximum de crimes", s'indigne l'association familiale."

Bien que ce jeu soit codifié suivant les recommandations de la Commission Européenne, + 18 selon le code PEGI, ce qui signifie que GTA IV est réservé à un public adulte et bien Familles de France estime que GTA IV banalise la violence.

Le principe de réussite pour le joueur est de voler, tuer, trafiquer… c'est-à-dire commettre dans la ville de San Andrea, New York numériquement reconstituée, le maximum de crimes et d’enfreindre à la loi ?

L'association dénonce le laxisme des acteurs liés aux jeux vidéo, aux parents (premier acheteur de jeux vidéo pour leurs enfants) ainsi que les diffuseurs qui s'en donnent à coeur joie pour la publicité de leur jeu.

De son côté, Rockstar Games s'attend à des ventes records pour son 4e opus, encouragé par les critiques des médias sur la violence et le sexe omniprésent tout au long du jeu.

L'américain Rockstar Games qui n'en est pas à sa première polémique a averti sur la teneur explicite de certaines scènes de son jeu :

"Le sexe sera présent dans GTA IV, les scènes avec les prostituées étant plus détaillées que dans les précédents opus. Il y a maintenant 3 types de services, une masturbation, une fellation, ou un rapport sexuel"

C'est sûr, exprimé comme cela, ça ne laisse aucun doute sur le contenu et contenant, aux parents alors à jouer leur rôles d'éducateur et de tuteur, pour tant soit peu qu'ils n'aient pas démissionné de leur rôle.