DeadLight Director's Cut : Test PC

Date 4/7/2016 12:00:00 | Sujet : Jeux Vidéo

Je vais vous dire franchement, les jeux de plateformes, n’ont jamais vraiment été ma tasse de jeux vidéo, habitué aux environnements en 3D en temps réel ou au tour par tour, je m’adonne au FPS, STR, RPG qui font mon régal. Pourtant DeadLight Director’s Cup a attiré mon attention, alors il ne serait pas dit que je reste « idiot » toute ma vie, la version PC de ce jeu vient de débarquer sur mon PC.

 


Bien que ce jeu soit en scrolling horizontal pour son défilement, c’est le nouveau mode Survie en arène qui m’a interpellé et quand il s’agit de faire du massacre de masse dans les cris, dans la douleur et dans des flots de sang, j’adore jouer les exterminateurs à grande échelle et j’aime à explorer les environnements post-apocalyptiques ou résultant d’une pandémie bactériologique ou chimique, pour y survivre.

 



Et puis, pour être honnête, comme cette version PC de DeadLight Director’s Cup a été revue et corrigée de A à Z et de 0 à 9, pour rendre le jeu original encore meilleur, avec des effets visuels et des textures encore plus travaillés, offrant encore plus de détails aux vestiges délabrés de Seattle, le tout agrémenté de commandes plus souples et appropriées, bénéficiant aussi de nouvelles animations, mon PC allait se goinfrer et moi aussi, car je suis un Hédoniste épicurien..

Vous incarnez Randall Wayne, un survivant introverti et légèrement paranoïaque à la recherche de ses proches parmi les décombres de Seattle. C’est au début de l’année 1986 en pleine apocalypse, les survivants d'une épidémie de zombie vivent dans les ruines de la civilisation, essayant par tous les moyens de survivre à cet enfer.

Dans DeadLight Director’s Cup, il ne s’agira pas de défourailler à tout va, d’ailleurs le peu de munitions glanées ici ou là, va refroidir votre ardeur à avancer tête baissée. Nan, le plus sage sera donc d’éviter l’affrontement de face, et pour une fois, utilisez votre cerveau, plutôt que vos armes, on ne se trouve pas dans DOOM. Là il va falloir survivre au beau milieu de hordes de zombies, qui voient en vous, un beau tas de viande juteuse.

 



Tiens, en passant, je me suis toujours demandé pourquoi les zombies, les morts-vivants, avaient besoin de chair fraîche pour survivre, alors qu’ils ne sont que de vulgaires cadavres sur pattes. Alors, je vous conseille de choisir entre vos armes et la ruse, alors utilisez le décor pour vous fondre dans la masse et faire ainsi place nette devant vous, votre chemin sera long et parsemé d’embûches.

Sachez donc que pour survivre, il sera préférable de s’échapper des bras des zombies ou de tuer vite fait bien fait, d’une cartouche de 12mm en pleine tête, car un bon zombie, est un zombie mort, enfin sans faire de mauvais jeu de mots.

C’est au fur et à mesure de cette aventure de ce jeu de plateforme intense en 2D que le jeu se révèle immersif, vous êtes Randall Wayne, et vous cherchez votre famille, les « Ombres » comme on les appelle, hantent le moindre recoin de Seattle, vous avez la rage au ventre pour découvrir ce qui est arrivé aux vôtres.

 



Du fait de la rareté des ressources, y compris les armes et les munitions notamment, le combat est rarement la meilleure solution. Pour survivre, vous devrez faire un choix crucial : Contourner les zombies ou les mettre OK dans des combats au corps à corps ou avec vos armes.

Afin d’en savoir un peu plus sur l’histoire de Randall Wayne, prenez le temps de lire son journal personnel, des informations à découvrir y sont cachés et vous pourrez vous immerger dans le personnage, à croire d’ailleurs que vous jouez le rôle d’un « bipolaire ».

Dans un monde dévasté, il vous faudra oublier votre humanité, voire votre empathie, il n’y a pas de place pour la faiblesse et ne pensez qu’à vous ou au bien être de ceux qui feront équipe avec vous, tout le reste n’est qu’hostilité et doit être détruit, avec des armes, des éléments du décor ou le bon vieux corps à corps, à l’arme contondante.

 



C’est sur les cadavres que vous glanerez votre pitance ou les principales ressources nécessaires à votre survie, armes, munitions, etc. Mais avant toute chose, observez le décor pour y trouver un éventuel chemin salvateur, et faites le moins de bruit possible en marchant, surtout dans les hangars éventrés où rodent les zombies à l’ouïe fine.

Si vous pensiez jouer un héros charismatique, une espèce de Rambo ou de John McLane, oubliez tout ça, Randall se veut aux antipodes du héros que l’on connaît et quand on voit ses lacunes dans certaines disciplines, on se demande comment il a fait pour embrasser sa carrière.

DeadLight Director’s Cup, va vous tenir en haleine par son immersion, mais certains passages « chronométrées » vous rendrons fou, car au iota de retard près, vous devrez recommencer et ça, c’est un peu énervant. Mais rappelez-vous que le salut se situe aussi dans la fuite. Maîtrisez votre barre d’endurance, car même si les zombies sont de gros lourdauds qui se déplacent à la vitesse d’un escargot, ils ont le nombre pour eux et vous risquerez d’être très vite à bout de souffle et submergé.

 



N’hésitez pas à piger les zombies à votre poursuite, les pièges se veulent efficaces tels des armes létales, et vous mettent à l’abri, dans l’attente d’une solution de sortie, qu’il vous faudra trouver vite. Jouez les ninjas d’un bord à l’autre d’un mur pour vous mouvoir en hauteur ou en largeur, afin d’éviter les fils électrifiés qui jonchent certaines rues.

Si le jeu se joue aussi au couple clavier souris, un Pad se voudra plus adapté, car le jeu a été d’abord pensé pour les consoles, mais c’est jouable, sans plus au clavier. Les puristes apprécieront le 1080p de cette version

Utilisez les défenses interactives pour bloquer les zombies et accéder à de nouvelles zones, ou combattez avec de nouvelles armes, comme la mitrailleuse, le cocktail Molotov et le fusil de précision, pour survivre le plus longtemps possible et grimper dans les classements en ligne. Avec le tout nouveau mode Survie en arène, qui offre des défenses interactives et des armes inédites, vous pourrez vous lancer dans un combat toujours plus intense contre les hordes de zombies.

 



De quoi vous régaler pendant une bonne dizaine d’heures pour la campagne avec une fin un peu surprenante.

Test réalisé sur un PC Business/Gamer :

Proc. Intel Core i5 à 3,30 GHz - 16 Go de Ram DDR3 Kingston HyperX - Carte Graphique MSI-GeForce-GTX 980- 4 Go DDR5 - Ecran AOC Incurvé 35" - 21:9 en 2560*1080*160 - SSD Crucial M550 de 512Go + DD 1 To - Windows 10 Pro en 64 Bits - Clavier Steelseries-Apex - Souris Gaming Razer Epic Naga Chroma - Tapis de souris Roccat Sense - Hub Roccat-Apuri - Ensemble audio Logitech 2.1- Z523Casque-Micro SteelSeries H- sans-fil.





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