Dans la bataille des navigateurs, Internet Explorer domine le marché, Firefox non content de ses 30 % de part vient de s'allier à Opera qui dernièrement avait déposé plainte contre position dominante du Géant des Logiciels, le renard/panda rouge/de feu sort les crocs.
Sous la plainte d'Opera-Software contre Microsoft, la Fondation Mozilla vient de s'allier au plaignant contre Microsoft, l'union fait la force, un bon moyen de terrasser le géant déjà à terre en donnant l'estocade finale. Sous le couvert que la vente liée d'un navigateur au sein de Windows nuit gravement aux concurrents comme Opera, Firefox le navigateur de la Fondation Mozilla qui n'en finit pas de faire mordre la poussière à Internet Explorer a décidé de frapper fort, il fera front commun avec Opera contre Internet Explorer. 
Bon, si Opera sera dans la tribune des plaignants accusateurs, Firefox se contenterait d'apporter son expérience dans le domaine, mais martèlera que le couple glamour Windows/Internet Explorer est un "tue" concurrent et freine la concurrence et même l'innovation. Dans le domaine des navigateurs, Internet Explorer se situe à des parsecs de ses concurrents, tant en part de marché qu'en innovations inexistantes, puisque la navigation par onglets que l'on trouve dans Internet-Explorer est une innovation d'Opera, démocratisée par Firefox. Opera et Firefox devront donc se battre non pas aux niveaux des caractéristiques de leurs fonctionnalités, déjà reconnues par de nombreux aficionados, mais auront surtout à se battre contre l'immobilisme des utilisateurs, car le vrai "fléau" est bien là. Changer les habitudes et elles reviennent au galop. Cette nouvelle alliance Opera/Firefox donnera peut-être des idées aux autres navigateurs comme Safari et Google-Chrome qui débutent leur carrière et peuvent revendiquer aussi une concurrence déloyale. La Commission Européenne se penchera encore une fois sur le cas Microsoft Windows/Internet Explorer dans les prochains mois. Un Windows exsangue du Media-Player, de Windows Messenger et éventuellement d'un navigateur, rendra-t-il service à l'utilisateur tout en confortant des parts de marché à ses concurrents (Firefox, Opera, Safari-- Google-Chrome et Quick-Time ou AIM, etc.) ? Peu probable si l'on en juge par le fiasco du Windows européen que personne ne veut. Les applications incluses dans Windows à l'instar du Windows Média Player, de Windows Messenger et d'Internet Explorer restent-elles des pare-feu pour les autres produits tiers ? Sûrement pas, jamais une application en natif dans un système d'exploitation n'en a garanti son utilisation et sa pérennisation, mais c'est vrai aussi que c'est plus facile d'attaquer le joueur que le jeu, que de produire des produits innovants. Ce qui séduit l'utilisateur d'applications et notamment dans le domaine des navigateurs, c'est le produit innovant et révolutionnaire qui apporte confort, sécurité et simplicité d'emploi à l'instar du Renard/Panda Rouge/de Feu Firefox qui a convaincu près de 30 % d'utilisateurs dans le monde et qui n'est pas lié à Windows. Même le navigateur Google-Chrome qui vient de débarquer sur la toile a déjà ravi plus d'utilisateurs en à peine quelque mois qu'Opera dans toute sa carrière. Faudra-t-il à Microsoft, intégrer tous les navigateurs de la planète au sein de Windows pour contenter tout ce petit monde ? La réponse dans le prochain chapitre.
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