Dishonored-2 de Bethesda: Test PC

Date 21/11/2016 12:00:00 | Sujet : Jeux Vidéo

Bethesda a parlé, Dishonored 2, le second opus des aventures de Corvo et d’Emily vient de débarquer sur les PC des joueurs, tant attend par la communauté des Gamers, Dishonored-2 saura-t-il faire honneur à son prédécesseur, Bethesda a tout fait pour qu’il en soit ainsi, suivez Emily ou Corvo, pour le savoir.

Autant l’affirmer de suite, Dishonored 1er du nom, a surpris, interrogé et sublimé les joueurs, d’ailleurs pour s’en convaincre, lisez notre article dédié , juste pour une petite piqûre de rappel. La principale difficulté pour Dishonored 2 sera donc d’égaler voire de surpasser le chapitre 1, une tache plutôt ardue, compte tenu de la véritable révolution de Gameplay et du scénario du Dishonored-1.

 



Dishonored-2 a été façonné en fonction des nombreuses demandes et interrogations des joueurs de la première trempe, si j’en crois les témoignages de l’équipe d’Arkane Studio, Dishonored-2, fait leur fierté et leur allégresse, tout en conservant une certaine dose d’humilité. Et précise bien au cas où, que leur bébé serait suivi et que des Maj. viendraient étayer ledit jeu.

Alors évidemment, ça c’est sur le papier, de la promotion au plus haut niveau avec distribution de cinématiques et divulgations de compétences et pouvoirs des deux principaux personnages, mais pour le joueur que je suis et le fan de Bethesda, je ne pardonne rien, à l’instar de la vengeance d’Emily.

Quand j’ai installé Dishonored-2, je me suis posé une question, Bethesda a d’ailleurs pour ce second opus, laissez le choix au joueur en permettant de jouer l’un puis après l’autre des personnages, soit endosser le rôle d’Emily, soit d’endosser le rôle de Corvo. Surtout que pour ce chapitre deux, les pouvoirs de ces personnages ont été renforcés, augmentés et bien d’autres compétences encore plus terrifiantes et plus jouissives les uns que les autres, mais alors, faut-il commencer par Emily ou alors par Corvo. ?

 



Que vous optiez pour Emily ou pour Corvo, avec un Chaos faible ou un chaos élevé (c’est cette partie que j’apprécie le plus), que vous soyez un aventurier/ explorateur si discret que même le vent ne vous veut que du bien, ou un Rambo de l’époque victorienne qui « Rush » comme un bourrin le jeu, vous allez être subjugué par le travail des développeurs et la profondeur de champ.

Eh bien je vais vous le dire. ! Vu que sur Dishonored-1, j’ai commencé par Corvo et à juste titre d’ailleurs, je commencerai ce Dishonored-2 par Emily, puis en fin de jeu, vue sa rejouabilité à quasiment l’infinie, je jouerai le protecteur Corvo. Le dilemme n’est pas aussi simple qu’il y parait, car ces personnages ont des pouvoirs différents et des approches de Gameplay différentes. Mais que l’on se rassure, je ne détiens pas la vérité et quel que soit le personnage joué, l’expérience sera l’une des plus extravagantes et jouissives, qui saura vous transporter et vous transcender.

Contrairement à mes habitudes quand je vous parle des jeux vidéo, cette fois-ci, je ne reviendrai pas sur les mécanismes du jeu, mais je m’attacherai à vous faire part de ses nouveautés et de la nouvelle dimension verticale que Bethesda a insufflée à son jeu, et qui va vous faire voir le jeu sous un autre angle de vision et surtout sous des aspects différents de la vengeance.

 



Mais au fait, Que connaît-on d’Emily. ? Franchement, peu de chose en fin de compte.

Emily Kaldwin :

Elle est l'héritière de l’empire. Grâce à celui que tout le monde soupçonne d’être son père, le protecteur personnel de l’impératrice, Attano Corvo, Emily si proche de son père, est donc allée à bonne école comme on dit, et en complément, elle a développé des aptitudes toutes autres que celles dédiées à une future reine, afin de régner comme sa mère Jessamine, en suzeraine humaniste et protectrice de son peuple.

Corvo a insufflé à Emily, l’infiltration et surtout le noble art du combat au service de la justice, si bien qu’au cour de ces années passées à étudier et à s’entraîner, il se pourrait bien qu’Emily ait dépassé son père. Ingénieuse, disciplinée, méthodique et minutieuse, elle est devenue une experte à l’épée, à l’arbalète et les armes à feu, sans oublier sa maîtrise des explosifs, bombes en tous genres, et des poisons.

 



Jeune femme de 23 ans, elle cumule la vivacité et la fougue de sa jeunesse, mais demeure sous la terreur de l’assassinat de sa mère. Elle a donc développé une personnalité à part entière et sans mauvais jeu de mots, bien tranchante. Je pensais vous épargner le portrait de Corvo, ce personnage est connu, mais Bethesda a refaçonné certains pouvoirs de garde personnel et c’est mon jour de bonté, je vais vous résumer aussi le portrait de Corvo, le protecteur et sûrement père d’Emily.

Attano Corvo :

C’est lui le personnage principale du Dishonored-1, garde personnel et protecteur de Jessamine, Impératrice de l’empire et surtout, père d’Emily, même si aucune preuves n’étayent cette thèse, juste une très forte suspicion, quand on observe les relations fusionnelles entre Emily et Corvo. Malgré une jeunesse privée de son père, Corvo natif de Karnaca (capitale de Serkonos) s’est très vite distingué dans la maitrise des arts de l’attaque et du maniement des armes, au travers de nombreux duels qu’il a remporté, haut la main.

 



Ses exploits lui permettent alors d’entrer dans l’armée impériale et de devenir garde impérial au service de l’empereur de Dunvall, puis sa mutation au titre de garde personnel de l’impératrice Jessamine, l’héritière du trône.

Entre Jessamine et Corvo, c’est l’amour, et Emily en est la meilleure preuve. L’idylle ne sera que de courte durée, l’impératrice sera assassinée devant l’impuissance de Corvo et les yeux terrifiés d’Emily. Corvo sera incarcéré et accusé injustement du meurtre de l’impératrice et condamné à mort. Corvo retrouve le véritable assassin (le grand dilemme de l’épisode 1) et Emily monte sur le trône, sans avoir cette fois, oublié de lui inculquer les meilleures techniques d’assassin.

C’est donc Emily, qui dans un premier temps, a retenu mon attention, car je voulais connaître ce nouveau personnage plein de ressources, modelé à l’image de son père. Une fois le jeu terminé, j'endosserai alors le rôle de Corvo avec ses nouveaux pouvoirs.

 



Dishonored-2 fait pleinement la part belle à l’exploration, bien sûr le premier opus avait également cette dimension, mais avec des restrictions techniques, hauteur distance, etc. Ce Dishonored-2, comble et agrandit le fossé, car par l’acquisition de vos nouveaux pouvoirs, vous allez vous surélever et découvrir une nouvelle forme d’approche grâce à la verticalité. Les toits n’auront plus de secrets pour vous, ils seront votre terrain de jeu par excellence et comme un bonheur n’arrive jamais seul, les explorateurs seront récompensés par de nombreux secrets à découvrir.

Une fois encore, Dishonored-2 vous permet de faire des choix, rappelez-vous quand même que vos choix, influenceront le déroulement du jeu avec des conséquences différentes. Vous restez néanmoins le maitre de Dunvall, façon de parler. Vous pouvez donc vous la jouer furtive ou agressive, c’est cette méthode qui retient toujours mon attention, c’est pourquoi j’ai un niveau de chaos plutôt très élevé.

Mais il m’arrive aussi de faire preuve d’humanité et je combine alors les deux méthodes, une espèce de conglomérat de discrétion/furtivité et d’agressivité dévastatrice, ainsi, si une cible me barre la route, je cherche une autre issu pour l’épargner. A défaut, je tranche dans le vif, car le jeu permet toutes les sortes d'approches, notamment avec la verticalité.

 



Je pense néanmoins aux pacifiques, pour qui la vue du sang, les glace d’effroi. Ils seront aux anges ici, car ils pourront employer la méthode douce, la diplomatie du non-létale, d’ailleurs un grand nombre d’action dans le jeu assure cette politique. Ce sera donc grâce à de nouveaux pouvoirs comme la prise incapacitante, la chute neutralisante sur les gardes et autres cibles gênantes, ainsi que la glissade qui évite les mauvais coups et évite le combat rapproché.

La furtivité va vous apporter le bénéfice de la progression en toute discrétion telle une ombre et les gardes n’y verront que du feu, enfin juste un léger coup de vent, mais le gros avantage de la diplomatie non-létale c’est de générer un suspense additionnel à l’aventure, n’oubliez pas que vous jouez votre vie, car les gardes se veulent puissants et résistants. (Niveau difficile).

Sachez toute fois que la furtivité tient compte de la vue et du toucher, ainsi élargissez votre champ de vision et jouez avec les angles mots de la détection des ennemis pour mieux les immobiliser par derrière. Bien sûr, l’ombre et l’obscurité seront de précieuses alliées, mais leur zone d’influence reste restreinte, alors profitez au maximum de ces zones pour mieux vous cacher et vous fondre dans le décor.

 



Dans vos ascensions, vous pourrez profiter des murs pour vous y accrocher et observer la vie d’en-bas, sans être vu. N’oubliez pas que Karnaca fait la part belle à la verticalité, alors grimpez sur les toits, progressez le long des corniches et autres conduites d’évacuation, pour ne pas être repéré, et à défaut d’ouvrir une nouvelle voie salvatrice...

Ceux qui pratiquent la furtivité depuis longtemps, n’auront pas oublié de regarder par le trou des serrures et utilisent souvent des objets tiers pour tromper la vigilance des gardes, les bouteilles lancées au loin, ou déclenchez une alarme. Et puis, jouez les concierges, écoutez les conversations des gardes, les discussions se veulent croustillantes et plus encore, que je vous laisse découvrir.

Vous l’aurez compris, Il est donc possible de jouer entièrement le jeu sans commettre le moindre meurtre. Mais ce n’est pas ma tasse de thé, les nouveaux pouvoirs d’ Emily ou même de Corvo ont été décuplés et sont devenus plus dévastateurs que jamais. Alors, ce serait un crime de zapper la méthode expéditive et au combien gargantuesquement gore et jouissive.

 



Comme j’aime à le dire, « la diplomatie, c’est la politique des faibles », alors au diable la compassion et le manichéisme, faites dans la douleur, car vos ennemis n’ont pas d’états d’âme et seront impitoyables et intransigeants avec vous, alors mon maitre me disait : « œil pour œil plus un bras et dent pour dent plus une jambe ». Une belle doctrine qui porte ses fruits.

Si « l’attaque se veut la meilleure défense » au corps à corps, me disait aussi mon maitre, pensez à parer dans un combat à l'épée et en pleine mêlée, vous y gagnerez en lucidité et éviterez les mauvais coups. Cette méthode me convient bien, car après avoir paré, je peux riposter au moment opportun où l'ennemi est déséquilibré, je déclenche mon attaque et y ajoute l’exécution d’un pouvoir meurtrier et ainsi m’ouvrir le chemin vers la rédemption, la vengeance.

Dans votre quête, n’oubliez pas et ne négligez surtout pas la recherche des « charmes d’Os », pour cela, le cœur vous y aidera, et il se pourra aussi que des runes viennent compléter votre panoplie en les appliquant une fois découvert. Comme les charmes d’Os se veulent nombreux, vous pourrez en changer comme bon vous semble et surtout pour améliorer vos compétences. Et à défaut, si ceux trouvés ne vous conviennent pas, mieux vaut alors les fabriquer vous-même, grâce à la Création de charmes d’Os.

 



La vie d’assassin nécessite évidemment des qualités de combats et de furtivité pour arriver à ses fins, mais il faut aussi savoir écouter et lire. Certaines affiches révèlent des informations, les messages d’annonce contiennent aussi des informations précieuses, alors prenez le temps et la peine.

Voilà, avec ce préambule, vous êtes au mieux pour commencer à jouer. Si c’est la première fois que vous attaquez Dishonored-2, alors je vous encourage à suivre l’ « Initiation », cela vous fournira les mécanismes du jeu. Si vous êtes un vieux briscard, un petit rappel ne fait jamais de mal, surtout après ces années à faire autre chose.

Un usurpateur s'est emparé du trône de l'impératrice Emily Kaldwin, laissant le destin des îles incertain. En incarnant Emily Kaldwin ou Corvo Attano, le joueur pourra voyager au-delà des rues de Dunwall jusqu'à Karnaca, une ville côtière autrefois florissante détenant le secret qui permettra de remettre Emily sur le trône. Armé de la marque de l'Outsider et de nouveaux pouvoirs surnaturels puissants, l’assassin traquera les ennemis et changera le destin de l'Empire pour toujours.

 



Dans Dishonored 2, vous endossez à nouveau le rôle d’assassin surnaturel, un rôle que j’apprécie tout particulièrement, et tracez votre chemin dans ce monde où l’industrie se mêle au mysticisme. Quel que soit votre décision, sur le choix du personnage de début de jeu, entre les armes et les gadgets Hi-Tech dédiés à son héros pour éliminer vos ennemis, l’histoire variera en fonction de vos choix, cruciaux évidemment.

Mais une chose se veut sûre, menez et déjouez les intrigues ainsi que les différentes missions qui vous seront proposées, car le destin de Karnaca et le vôtre ne font qu’un.

Si les premières marches du préambule ne vous servent qu’à un petit tour d’horizon des différentes techniques de Gameplay, c’est ici que vous aurez à faire le 1er choix. Comme précisé, j’endosserai le rôle d’Emily, j’ai un certain faible pour ce personnage torturé par un passé tumultueux et terriblement affligeant. Voir sa mère assassiner, sous ses yeux d’enfant, a de quoi vous laisser des traumatismes violents. D’ailleurs, vous remarquez aussitôt d’autres choix à faire et qui vont conditionner votre aventure avec plus ou moins de retombées bénéfiques ou négatives.

 



J’ai choisi le mode assassin, l’état même d’Emily, formée à bonne école, « tuer ou ne pas tuer, là est la question » me disait mon maître. Il y a bien longtemps que je ne me pose plus la question et c’est aussi dans le caractère d’Emily, elle tue par mépris et par vengeance, une attitude que je respecte.

Pour passer ce niveau de jeu, vous ne pourrai compter que sur vos propres dispositions physiques, neutraliser en douceur ou carrément sanglante, à défaut de vous la jouer infiltration. De toute façon, vous devrez composer dans ce niveau et trouver le juste équilibre entre chevauchée éradicatrice et discrétion assurée.

Si certains apprécieront ce type de jeu où il faut faire avec ce que l’on a, ce n’est pas ma tasse de thé. Ce n’est qu’à la rencontre avec l’Outsider que vous allez sceller votre destin et celui de Karnaca. Je crois que c’est le choix le plus décisif du jeu que vous aurez à prendre et à assumer tout au long des dizaines d’heures de Dishonored-2, alors, réfléchissez bien à ce que vous allez répondre.

 



Acceptez-vous ou non les pouvoirs que l’outsider vous réserve, tout comme il l’a fait du temps du père D’Emily. Pour ce choix, j’ai un avis tranché, c’est « OUI » aux pouvoirs de l’outsider. Je ne comprendrais pas l’intérêt de se priver de ceux-ci, car Dishonored ne serait pas Dishonored sans eux. Et entre-nous, détenir de tels pouvoirs et compétences, ont de quoi assouvir au mieux les instincts d’assassin, de vengeur d’Emily, afin qu’elle trouver enfin, la rédemption à défaut de l’absolution.

Vous voici donc armé de pouvoirs et de compétences qu’il faudra développer au fil de vos trouvailles de runes et autres charmes d’os, une fois renforcé, à vous la puissance démoniaque et dévastatrice. Faites-en bon usage. Bien sûr, cela n’empêchera pas d’user et d’abuser de la furtivité et de se la jouer les filles de l’air, une parfaite combinaison entre les pouvoirs et la discrétion demeurent les armes par excellence des assassins. Trancher vite et bien dans le vif, en associant mer de sang et pas feutrés.

Si Dishonored-1 a fait la part belle à l’exploitation linéaire, cette fois-ci, Dishonored-2 rentre dans une nouvelle dimension, votre terrain de jeu va s’agrandir exponentiellement par la verticalité, vous allez pouvoir passer par des chemins jusqu’alors inaccessibles avant. Contournez les portails électrifiés par des voies détournées en passant par les balcons et autres appartements, à défaut, vous pourrez toujours pirater les tableaux de bord de commande.

 



Il n’est pas toujours nécessaire de faire le ménage par l’éradication la plus totale pour accéder à un passage détourné. Surtout avec le mode « difficile », mieux vaut se la jouer chaton. Mais c’est votre style de jeu qui va décider, personnellement, je ne laisse pas de gardes endormis derrière moi, ce n’est que source d’ennuis et de trépas assuré. C’est sûrement pour cela que j’ai un « Karma » de chaos élevé.

Dans le domaine de l’approche, Dishonored-2 n’a pas lésiné sur la diversité, d’ailleurs si l’on prend le temps de réfléchir avant d’agir, vous verrez se profiler devant vous les différents chemins, ce qui apporte un Gameplay des plus intéressants, car ce sera suivant votre envie. C’est pourquoi en acceptant les pouvoirs de l’Outsider, vous aller changer de dimension et votre champ d’investigation va s’élargir à quasiment l’infini.

Mais attention, ce n’est pas parce que vos pouvoirs sont décuplés (répartissez bien vos runes et charmes d’os dans les rubriques qui vous intéressent : machine à tuer, etc.) que vous allez jouer les sauvageons sanguinaires. Non et non, vous allez être très vite remis dans le droit chemin, car l »IA des androïdes mécaniques se veut très évoluée et à croire qu’ils possèdent un 6e sens, ces machines infernales vous détectent au moindre bruissement, agissez en conséquence.

 



Bien sûr comme dans le 1er chapitre, une fois votre périple d’assassin effectué et de voleur par la même occasion, en ramassant, pièces de monnaie, tableau, lingots d’or ou d’argent, sans oublier les plans de transformation et d’amélioration. L’atelier de Pierrot a disparu au sein de Karnaca et des environs, cette fois-ci pour avoir accès à un atelier spécialisé, vous devrez faire appel à des boutiques clandestines, où tout s’échange contre monnaie sonnante et trébuchante, alors ratissez bien de fond en comble et de la cave au grenier les bâtisses visitées, des trésors y sont cachés.

En tout cas, en pénétrant dans ce Dishonored-2, vous ne serez pas perdu, vos marques sont bien là et les mécanismes du jeu originel aussi. Peu d’amélioration au niveau graphisme, tout comme Dishonored-1, les PNJ ont des « gueules » de Patibulaire, taillées à la serpe. La ville grouille de personnages vacants à leur activité, cela vaut le coup d’œil.

Dishonored-2 vaut son pesant de diamants taillés et dans la p-arfaite lignée que l’on attendait pour un second chapitre, (sans nul doute Bethesda nous apportera des DLC et s’ils seront de la trempe du Dishonored-1), la boucle sera bouclée, et fait de ce Dishonored-2, sûrement l’un des jeux les plus aboutis et sublimissime jeu de cette année 2016.

 



C’est beau, noble, hyper fluide, un scénario en béton armé à toute épreuve, un Gameplay innovant, une rejouabilité sans pareille avec son lot de diversités, une petite touche de sexe n’aurait pas été déplaisante, la séduction ouvre souvent des portes, alors entre-nous, si vous faites l’impasse sur un titre pareil, alors c’est à désespérer et vous méritez de finir dévoré par les mouches de sang.

Quant à moi, il me reste à endosser le rôle de Corvo, car pour lui aussi, les pouvoirs démoniaques ont été revisités et décuplés, cela promet encore de longues heures de jeu, mises à profit alors, pour se pencher davantage sur l'exploitation et la verticalité offerte comme terrain de jeu. de quoi me faire patienter jusqu'aux DLC dédiés.

Test réalisé sur un PC Business/Gamer :

 

 

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