Dans la bataille pour la terre des navigateurs, Microsoft Internet Explorer domine depuis de longues décennies le marché, mais voici que les alternatives prennent du poil de la bête, à l'instar de Firefox, Safari, Google-Chrome et Opera.
Internet Explorer le navigateur de Microsoft perd de sa superbe pour atteindre 68 % selon XiTi, alors que Firefox monte en puissance avec un 21 % de part de marché suivi par Safari avec 8 %, Google-Chrome et son 1.15 % devant Opera qui a opté pour un passeport du royaume d'Hadès. 
De son côté, le navigateur de la Fondation Mozilla, Firefox, le renard/panda rouge/de feu atteint près de 30 % dans la vieille Europe et plus de 40 % dans les pays de l'Est. Safari booster par les ventes de PC Apple (Mac) vaut 8 % du marché, petite déception pour Google-Chrome qui peine avec 1.15 % alors qu'Opera poursuit sa descente dans les abysses. Devant ses chiffres de la concurrence des navigateurs, on s'interrogera sur les motivations de la Commission Européenne à vouloir avec l'appui des protagonistes comme Opera, Firefox et dernièrement Google de voir Internet Explorer désolidarisé de Windows, pour permettre une meilleure concurrence ? La montée en puissance des navigateurs tiers montre une fois de plus que l'intégration d'Internet Explorer au sein de Windows n'est pas un handicape pour la concurrence, au contraire. On pourrait même en déduire que les divers procès pour "vente liée" contre Microsoft sont en fait de vrais faux problèmes, car comment alors expliquer la montée des alternatives ? Microsoft va permettre avec Sept la désinstallation de son navigateur fétiche, un pas de plus du Redmondien en faveur de la concurrence et de la pression de la Commission aidée par les concurrents. Mais tout un chacun le sait, les habitudes sont tenaces et il y a fort à parier que cette possibilité de Sept ne donnera pas plus de part de marché à Internet Explorer qu'aux autres navigateurs, car c'est l'utilisateur qui a le dernier mot !
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