ça sent le souffre pour les pirates qui ne respectent pas la Propriété Intellectuelle des éditeurs de jeux vidéo, pour lutter contre ce phénomène voici qu'Atari par la voix de son fondateur apporte une "solution-miracle", une puce antipiratage en natif dans les cartes-mères pour nos PC, une espèce de NGSCB.
Le piratage de logiciels demeure un sport national dans bon nombre de pays à l'instar de la Chine, de la Russie et même dans notre beau pays et dans les bas-fonds du Net obscur, on peut trouver à bon prix un artéfact qui permet après autopsie de sa console (Xbox 360 - PS3 - Wii) de lui greffer la dite puce pour lire des jeux vidéo piratés et bien c'est fini, voici venir le Trusted Platform Module. 
Actuellement pour lire des jeux vidéo piratés, les petits malins flashent le firmware ou achètent des ModChips sur les étals des marchés locaux, un marché juteux sans compter que l'on peut aussi trouver des puces multi console en toute légalité à installer pour profiter du marché des jeux violés et via le port USB de la console de reprogrammer le tout. Nintendo avait changé ses K7 par des cartouches pour endiguer le piratage de ses jeux, mais les vauriens ne manquent pas d'idées et le piratage ne fait que croître. Atari vient de prendre la relève en apportant sa propre solution, l'intégration en natif dans les cartes-mères de nos PC et sur les équipements dédiés, d'une puce antipiratage qui crypte et décrypte les données en temps réel, c'est le fameux TPM pour Trusted Platform module Le TPM porte aussi le nom de puce Fritz de son concepteur, un composant passif qui ne fait que stocker des secrets, des clés de chiffrement et cela en toute sécurité. Il ya quelques années, Microsoft avec son informatique de Confiance, le fameux NGSCB pour Next Generation Secure Computing que l'on peut traduire par Base d'information sécurisée de nouvelle génération et connue sous le retentissant nom de Palladium qui a déclenché un véritable tsunami dans les communautés du Logiciel Libre.. Si le principe du NGSCB restait défendable pour les ayants droits, ce système de protection barrait la route aux virus, protégeait le système contre du code malveillant et non autorisé et interdisait l'accès d'applications à la modification ou à la lecture et à bien d'autres choses encore. Et interdisait aussi de pouvoir appliquer des CheatCodes dans le jeu vidéo, pour aider le joueur malheureux à franchir un niveau, mais les défenseurs du Logiciel Libre voyaient le NGSCB comme le sceptre de Microsoft pour la domination du monde. C'est un peu dans ce sens que le TPM d'Atari entend défendre l'édition du jeu vidéo contre les pirates. Une nouvelle barrière donc contre les pirates qui devront cette fois peut être rendre les armes !
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