Metro: Last Light, jeu vidéo de tir à la première personne, est la suite tant attendu de l'extraordinaire Metro 2033. En 2034, une guerre nucléaire a transformé la terre en un désert post-apocalyptique. À Moscou, ce sont désormais les tunnels du Metro qui abritent les anciens habitants de la ville. Le jeu vidéo Metro Last Light en est la suite, plongez dans l'antre du métro.
Deep Silver a annoncé la date de sortie de Metro: Last Light. Ce jeu vidéo de tir en vue subjective est la suite de l’extraordinaire Metro 2033. Menno van der Bil, le directeur commercial international de Deep Silver, nous avait confié à l'époque :
« Cette nouvelle date de sortie est le compromis idéal entre notre désir de parfaire Metro: Last Light autant que possible et celui de ne pas faire attendre les fans plus que nécessaire », a déclaré Dr. Klemens Kundratitz, PDG de Koch Media.
« Nous profiterons au maximum de ce temps supplémentaire pour travailler en étroite collaboration avec 4A Games afin d’améliorer encore le jeu. Ce titre disposera de toute l’attention qu’il mérite. »
« Depuis que nous avons annoncé publiquement que nous récupérions la franchise Metro, les fans nous réclament sans cesse une date de sortie. Nous pouvons enfin révéler à partir de quand il sera possible d’avoir le jeu entre les mains ! Nous tenons à remercier tous les fans de Metro pour leur patience. Et nous leur assurons que nous avons beaucoup de choses en préparation pour cette franchise ».
Depuis, le jeu vidéo est arrivé sur ma machine.
En 2034, une guerre nucléaire a transformé la terre en un désert post-apocalyptique. À Moscou, ce sont désormais les tunnels du Metro qui abritent les anciens habitants de la ville. Ces derniers doivent combattre pour leur survie au sein des catacombes, repoussant non seulement les hordes de mutants monstrueux engendrés par les retombées toxiques, mais aussi les autres factions, prêtes à tout pour prendre le contrôle des rares zones encore habitables. Au cours de cet affrontement, chacun tentera également de mettre la main sur une arme terrifiante qui pourrait bien être la clé de la victoire. La guerre civile est inévitable. Pour traverser ces heures sombres, les joueurs incarneront Artyom et deviendront la dernière lueur d’espoir de l’humanité tout entière.
L’intrigue de Metro: Last Light a été écrite par Dmitry Glukhovsky, le célèbre auteur du roman Metro 2033 ayant inspiré les deux jeux vidéo. Glukhovsky est également l’auteur de tous les dialogues de Metro: Last Light. Les romans de Glukhovsky, Metro 2033 et Metro 2034, se sont vendus à plus de 2 000 000 d’exemplaires dans le monde entier. En 2013, son dernier livre, Metro 2035, sera aussi disponible en dehors de la Russie.
Pour plus d’informations sur Metro: Last Light
Au tout début de la genèse de ce jeu, Menno van der Bil, directeur commercial international chez Deep Silver nous disait : « Nous sommes très fiers de la coopération avec NVIDIA car cela représente une opportunité formidable de rassembler nos forces » et « Metro: Last Light se démarque grâce à des graphismes exceptionnels, et les cartes graphiques de la série NVIDIA GeForce GTX 660 sont prêtes à les afficher de la meilleure manière possible. ». Donc avis aux amateurs, pour sublimer le jeu, il va falloir être armé comme dans les sous-sols du métro.
« Avec le jeu Metro 2033, 4A Games a déjà démontré que nous avons l’expertise de créer des jeux sur ordinateur exceptionnels. Avec Metro: Last Night, nous repoussons les limites à un niveau plus élevé encore », affirme Dean Sharpe, producteur exécutif de Metro: Last Light.
« Nous sommes ravis qu’NVIDIA nous ait choisi comme partenaire. En effet, cela confirme la position du jeu comme référence graphique pour la prochaine génération. », des affirmations qui fleurent bon chez le joueur que je suis, d'autant plus que je me suis préparé avec une configuration honnête *, car pour moi, les graphismes d'un jeu ont toute leur importance comme le GamePlay et le scénario.
Alors voilà, je vais tout vous dire de mon escapade.
Metro: Last Light est un jeu de tir en vue subjective et la suite extrêmement attendue de l'extraordinaire Metro 2033. En 2034, une guerre nucléaire a transformé le monde en désert post-apocalyptique. À Moscou, les tunnels du métro sont devenus le nouveau foyer des anciens habitants de la ville.
Au sein des catacombes, ils doivent se battre pour leur survie, repoussant des hordes de mutants hideux nés de l’atmosphère toxique, ainsi que d’autres factions voulant désespérément prendre le contrôle du peu de terres hospitalières restantes. Alors qu’ils se défendent, ils sont également à la recherche d’un dispositif catastrophe qui pourrait être la clé de leur victoire. Pendant ces heures sombres, les joueurs incarneront Artyom pour devenir la dernière lueur d'espoir de l'humanité entière.Sous les ruines post-apocalyptiques de Moscou, dans les tunnels du Métro, les survivants sont assiégés par des menaces venues de l'extérieur... mais aussi de l'intérieur.
Des mutants rôdent dans les catacombes sous la surface désolée et chassent dans les cieux empoisonnés qui la surplombent. Au lieu de s'unir, les villes-stations du Métro se déchirent pour s'emparer du pouvoir suprême. Une guerre civile qui pourrait anéantir à jamais l'humanité fait rage.
Vous êtes Artyom. Accablé par la culpabilité mais plein d'espoir, vous détenez la clé de notre survie, la dernière lueur de nos heures les plus sombres…
• Battez-vous pour chaque balle et chaque souffle dans un mélange oppressant de survival horror et de FPS.
• Choisissez comment progresser tout au long de votre périple : affrontez directement des ennemis redoutables, ou profitez de l’obscurité des souterrains pour agir en toute discrétion.
• Équipez-vous d’armes artisanales et modifiez-les selon votre approche du combat. Votre survie dépend de votre bonne gestion d’objets indispensables comme le masque à gaz, le briquet ou les jumelles
• Apprivoisez les méandres du Métro et ses villes-stations, ou explorez la surface désolée de Moscou, grâce à un des univers les plus immersifs et oppressants jamais créés.
Bienvenue dans les couloirs sombres du métro moscovites.
Les fans de Metro 2033 espéraient une suite à leur jeu fétiche, et bien que l'on se rassure, malgré la perte de THQ, KM (Koch Media) reprend la direction et les petites mains de 4A Games qui excellent dans les jeux à classer au Top 10 de l'année, sont encore présent pour la réalisation.
Ce FPS à la sauce Survival-Horror n'a rien perdu de sa superbe, des décors somptueux, des effets de lumière magnifiques, une ambiance de fin du monde, tout y est imbriqué pour immerger le joueur, même si l'on sent un peu que le jeu a été aussi fait par les consoles Next-Gen (exploration dirigée, objets important marqués, chemin balisé, etc.) autant vous le dire tout de suite, si vous souhaitez en savoir plus, suivez le guide
Au cours de la genèse de Metro 2L (Metro Last Light) on le savait déjà, il faudrait une bonne machine, voire même une très bonne machine pour prétendre goûter à la substantifique moelle du jeu, je parle ici des graphismes, si vous possédez une telle machine, alors Metro 2L va se révéler d'une très grande beauté et ce n'est pas tout car sa beauté extérieure vaut également sa beauté intérieure. Mais attention, je me suis surpris à admirer le paysage en relâchant mon attention et c'est à ce moment là, qu'une espèce de Succube m'a emporté dans les airs.
Alors si je peux vous donner un conseil, prenez le temps d'apprécier le travail des graphistes en vous cachant dans un endroit protégé, vous ne le regretterez pas, "foie d'animal, intérêt et principal" me disait mon amie la Fourmis. Et au besoin, cassez votre tirelire car le jeu se veut très gourmand, mais le jeu en vaut la chandelle. * voire la configuration de ma machine en fin d'article.
Mais bon, même moi je le sais, les graphismes d'un jeu n'en font pas pour autant la qualité du jeu, ils y contribuent largement, surtout si l'on possède une machine Gamer. Metro 2L a tout pour lui, une bande son, une narration captivante et surtout un excellent GamePlay même si l'impression de couloir se fait sentir, n'hésitez pas à jeter un oeil à gauche et à droite, des trésors y sont cachés, comme des munitions militaires (la monnaie d'échange dans le métro) des cartouches de masque à gaz, des grenades, etc. il en va de votre survie dans ce milieu hostile.
Dans les diverses stations du métro que vous traverserez, se terrent quelques marchands qui proposent des armes, des munitions et des accessoires pour customiser vos armes (viseur laser, silencieux, chargeur grande capacité, etc), tout en sachant que vous ne pourrez emporter que 3 armes pour chaque mission, ce qui à mon avis se veut agréable. Pour ma part, j'ai opté pour un fusil semi-automatique en Cal.12 et un fusil d'assaut. Mais en cours de missions, j'ai ramassé un AKM que j'ai conservé.
Si ce coté RPG de Metro Last Light me plait bien, c'est surtout son GamePlay qui en fait sa force, ainsi cet opus se veut dans la parfaite lignée de son frère : Metro 2033.
Bon je vous l'accorde, certain soldats ennemis ne sont pas des lumières, mais juste de la chair à canon, alors on ne leur demande pas de briller par leur intelligence, mais de tuer les ennemis. C'est ainsi que vous pourrez avoir le choix pour continuer votre chemin, l'affrontement brutal avec la force ennemi ou un semblant d'infiltration, pour cela, je vous conseille les couteaux de lancer, l'attaque dans le dos ou le sniper silencieux avec des carreaux ou des billets d'acier.
Après avoir menez des actions éclaires, car je dois le reconnaître, Metro 2L s'étale sur une succession de chapitres très courts mais intenses, n'oubliez pas de faire avant chaque départ en mission le plein de cartouches et de filtres pour le masque à gaz, car l'extérieure est invivable pour les humains, vous aurez droit à un peu de repos bien mérité. Sublime réconfort, après la guerre, le repos du guerre, ainsi dans certaines stations vous pourrez dépenser vos précieuses cartouches militaires auprès des prostituées des bordels.
Même Anna votre partenaire et gardienne armée d'un fusil de sniper et sensée vous protéger qui vous prenait pour un moins que rien, n'a pas hésité à vous abandonner, elle fera amende honorable quand vous la sauverez des griffes d'une mort certaine. Elle vous sera reconnaissante en s'offrant à vous.
Metro Last Light va vous tenir en haleine tout au long d' une belle aventure humaine, les combats y sont fréquents et plutôt épiques surtout quand les hordes de mutants se jettent sous vos balles au détour d'un couloir mal éclairé, de quoi vous faire sursauter sur votre fauteuil de bureau, surtout si comme moi, vous jouez dans le noir avec un casque SteelSeries 7.1 sur la tête.
Metro Last Light décrit avec minutie un monde post-atomique où la violence et la trahison sont le quotidien des habitants du métro. Mais au travers de toute cette misère, de ses conflits et de ses trahisons, l'étincelle de vie humaine resplendit, une belle leçon d'humanité et d'espoir tout au long de ces quelques 20 heures de jeu.
Ah, certains me diront que dans la version finale et officielle, il n'y a pas le mode "Ranger" et bien oui, c'est le privilège de ceux qui ont précommandé le jeu, un bonus qui ne se discute pas et récompense les audacieux. Pour les autres, ils attendront le DLC. Mais une chose se veut certaine, Metro Last Light s'inscrit dans les jeux qu'il faut absolument posséder. Car cet opus se veut meilleur encore que son frère Metro 2033.
* Machine de test :
Test réalisé sur un PC Business/Gamer, proc. Intel Core i7 à 3,4 GHz - 16 Go de Ram DDR3 Kingston HyperX - PNY-GeForce-GTX 680- 2 Go DDR5 - Ecran Dell S 2742 L, de 1920*1080 - ratio de 16/9, options graphiques au mieux du jeu, sous Windows 7 Pro.. Clavier Roccat Isku-FX, souris Gaming Roccat Krone XTD, Tapis de souris Roccat-Hiro, Hub Roccat-Apuri.
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