On le sait sur le JDNG, notre prédilection va aux jeux vidéo sur PC Windows, mais il nous arrive de faire des infidélités pour tâter de la console Next-Gen et plus particulièrement de la Xbox 360, sa tombe bien, Microsoft-Games s’adonne aux jeux de stratégie, avec Halo Wars.
Il faut le reconnaîtra, le jeu de stratégie sur Console n’a rien à voir avec nos jeux de stratégie PC, d’autant plus que bien souvent ces dits jeux ne sont que des portages PC vers console, autant dire de suite, que le plumage ne se rapporte pas au ravage.
Voici que Microsoft-Games entend tordre le cou à cette légende urbaine en nous montrant que le jeu de stratégie sur Xbox 360 n’a pas à rougir devant le jeu PC, bien sûr, c’est dans l’adversité que Microsoft se révèle être le meilleur, Halo Wars débarque sur la Xbox 360 du JDNG.
Pour se faire, Halo Wars a été spécialement cloné dans les cuves amniotiques de Redmond, pour coller parfaitement à la console de salon la plus vendue dans le monde, la Xbox 360 (compte tenu des variations saisonnières).
Le genre humain, dont le sport national consiste à exterminer tout ce qui lui semble hostile et en particulier sa propre race, fait la guerre aux extraterrestres (Les Covenants, des pas gentils et teigneux aliens, dopés par une évangélisation intégriste).
Dans la Saga Halo, Le Master Chief s’est illustré avec l’opus 1, cela ne nous rajeunit pas, c’était il y a 20 ans (temps de l’histoire), Halo Wars prend donc ses marques avec le commandement du vaisseau Spirit Of Fire du consortium UNSC qui croise dans la région de la planète Harvest.
Les scanners et autres radars de la confrérie montrent que les aliens concentrent leurs efforts à la découverte de vestiges archéologiques d’une très ancienne civilisation; L’univers entier semble en émoi et pas seulement la sexy scientifique, mais aussi Forges, le héros soldat.
Les amateurs de cinématique ne seront pas déçus (25 minutes), Halo Wars en regorge et de somptueuses qui plus est; Si la qualité des graphismes n’est pas à démontrer mis à par quelques dents de scie de lignes droites, on en prend plein les yeux sur un écran de 42", on regrettera que la localisation n’ait pas été plus soignée.
Bien sûr cela n’entache en rien le déroulement de l’histoire et de l’immersion du joueur, mais qu en même, le poids des mots et le choc des photos demeurent une recette qui a fait ses preuves.
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