C'est non sans une certaine appréhension fébrile que Command & Conquer IV a débarqué sur nos PC, le bonheur de reprendre les commandes du GDI et du NOD dans des combats dantesques, mais aussi parce que Electronic-Arts signe la fin de la Saga Command & Conquer avec cet opus 4 : Le Crépuscule du Tiberium.

Le monde de la stratégie en temps réel ou STR comme on la nomme possède son étalon, c'est la Saga Command & Conquer, véritable institution chez les généraux en herbe et les conquérants aguerris qui pendant près de 15 années a tenu en haleine des millions de joueurs, Command & Conquer 4 : Le Crépuscule du Tiberium, sonne le glas de la série mythique, sortez vos Kleenex-Club.
Depuis quelques mois, Electronic-Arts se surpasse, tous les titres mis à disposition des joueurs ( Mass-Effect 2 - Dragon Age Origins - Battlefield-Bad-Company 2, entre-autre) remportent un très vif succès, alors l'arrivée du dernier hit : Command & Conquer IV déclenche le bonheur chez les fans de la série et évidemment nous avons repris notre uniforme de commandant.
Passé l'engouement de son arrivée, Command & Conquer 4 : Le Crépuscule du Tiberium, livre donc son ultime combat et pour faire honneur à la saga, Electronic-Arts chamboule toutes nos habitudes du gameplay traditionnel des différents opus, oubliez tout ce que vous avez appris sur Command & Conquer, et retournez en cours, car ici, il ne suffira pas d'être un fin stratégie, il faudra aussi faire preuve de talent en logistique.
A ce propos, l'adage du 405è BCS de Tübingen se veut être le suivant :
"En matière de logistique, il ne suffit pas de vouloir, ni même de pouvoir, il faut avant tout savoir"

Le tiberium. La clé de la richesse et du pouvoir illimités.
Les premiers fragments sont tombés sur Terre en 1995 et beaucoup pensaient que ce cristal changerait le monde. Ils avaient raison. Les Guerres du Tiberium ont failli anéantir la civilisation. Derrière cette atrocité se cachait un homme : Kane, le messie autoproclamé de la fanatique Confrérie du Nod. Son ambition de contrôler le tiberium n'a été contrariée que par le Groupement de défense international (GDI), une organisation militaire défendant les valeurs de liberté, de paix et de sécurité.
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