Jeux Vidéo : Dishonored de Bethesda, le test sur PC.

Date 15/10/2012 12:00:00 | Sujet : Jeux Vidéo

Bethesda Softworks, vient de sortir son jeu vidéo Dishonored, le nouveau jeu vidéo d'action en vue subjective d' Arkane Studios. Dishonored est donc le premier jeu vidéo du studio depuis que ZeniMax en a fait l'acquisition en 2010, une révélation parmi les gros blockbusters à venir.


Il fallait sûrement s'appeler Bethesda pour tenter un tel coup de poker, imaginez, sortir un jeu vidéo avant les fêtes de fin d'année, relève d'une gageure ou d' un pari osé, pourtant Bethesda n'a pas hésité à jouer carte sur table et sans bluffer en plus car après avoir déjoué l'intrigue de l'histoire, Dishonored s'annonce comme le jeu de l'année dans le genre "Punk" à la sauce british des années victoriennes et du genre.

Conçu sous la direction des deux directeurs créatifs du studio, Raphael Colantonio, concepteur en chef d'Arx Fatalis, et Harvey Smith, qui occupait le même poste sur Deus Ex, Dishonored voit enfin le jour sur Xbox 360, PlayStation3 et PC Games for Windows.



"Chez Arkane, notre unique passion est la création d'expériences de jeu riches et immersives," affirme Colantonio, "Il est à la fois excitant et agréable de pouvoir enfin révéler notre projet."

Petit rappel :

Dishonored vous transporte dans la peau d’un assassin doté de pouvoirs surnaturels qui doit mener à bien sa vengeance. Éliminez vos cibles comme bon vous semblera grâce à un système de combat ouvert qui entremêle capacités hors normes, armes et gadgets révolutionnaires.

Dans l’ombre ou dans le sang, à vous d’écrire l’histoire. Celle-ci saura vous le rendre en retour en s’adaptant à vos moindres faits et gestes. Dishonored a pour toile de fond Dunwall, une ville industrielle de chasseurs de baleines où coexistent d'étranges technologies et un mysticisme transcendantal.





Cela commence donc mal pour le héros que vous incarnez, accusé à tort de l'assassinat de l'Impératrice, dont vous étiez le fidèle garde du corps, vous devenez un assassin redouté de tous qui se cache derrière son masque sinistre. En ces temps troublés, alors que la ville est frappée par une terrible épidémie et ploie sous le joug d'un gouvernement oppressif armé de technologies néo-industrielles, des forces obscures s'apprêtent à vous conférer des aptitudes surhumaines... mais à quel prix ?

La vérité qui se cache derrière votre prétendue trahison est aussi trouble que les eaux qui entourent la ville. Vous ne retrouverez jamais votre vie passée.



Privilégiez l'ombre et le silence pour éliminer discrètement vos ennemis ou une approche plus directe basée sur des coups d'épée fulgurants. À vous de planifier chaque assassinat : attaque au corps à corps en vue subjective, tir ou utilisation de vos pouvoirs. Improvisez et innovez pour définir votre propre style de jeu.

L'univers de Dishonored s'adapte à vos actions : vous pouvez vous déplacer comme une ombre et résister aux tentatives de corruption ou frapper impitoyablement et ne laisser que mort dans votre sillage. Le jeu enregistre tout ce que vous faites et vos actions influent sur son déroulement. Les missions changeront en fonction de l'approche que vous aurez choisie.

Endossez le costume de Corvo.




Dishonored se déroule dans un univers hostile composé d'océans houleux, de contrées lointaines sauvages et de villes néo-industrielles. Loin au large des côtes inhospitalières du continent pandyssien, les Îles représentent le cœur de toute civilisation.

Un gouvernement impérial règne sur l'ensemble de l'archipel, mais chaque île a son monarque et gère sa propre économie. Les relations diplomatiques et commerciales entre les îles sont plus ou moins cordiales.

Dunwall est la capitale des Îles, et le cœur de la révolution industrielle.



Si Dunwall était jadis une cité prospère grâce au commerce d'huile de baleine, elle est tombée ces dernières années dans le chaos le plus total, en particulier depuis l'assassinat de Jessamine Caldwin, son Impératrice bien-aimée. Suite à sa mort, un nouveau régime particulièrement sévère a accédé au pouvoir et protège certains quartiers de la ville d'un mal inconnu et mystérieux qui risque de décimer la population.

L'Impératrice a été assassinée ; sa fille Émilie qui vous adore, l'unique héritière du trône, a été enlevée et son fidèle garde du corps (c'est vous évidemment) êtes désigné comme principal suspect. Le Maître-espion s'est autoproclamé Lord Regent et règne sur la ville d'une main de fer.



Les nantis de la ville vivent dans l'opulence, protégés de toute contamination, tandis que les pauvres succombent à l'épidémie. À Dunwall, on conspire à tous les coins de rue et la vérité est aussi trouble que les eaux qui entourent la ville.

C'est ici que vous rentrez en scène!

Téléportez-vous pour adopter une approche furtive, possédez toute créature vivante ou arrêtez le temps pour orchestrer vos exécutions surnaturelles ! En combinant vos aptitudes surhumaines et vos armes, tout un éventail de possibilités s'offre à vous pour franchir chaque obstacle et éliminer chaque cible. Un système d'améliorations vous permettra de maîtriser à la perfection vos nouvelles capacités destructrices et vos gadgets mortels.

Plongez dans un univers original imaginé par Viktor Antonov, directeur artistique de Half-Life 2. Arkane et Bethesda vous offrent un monde conflictuel partagé entre industrie et mysticisme, dans une atmosphère saturée d'intrigues.



À vous d'en explorer les moindres recoins.

Découvrez une ville sans pareille




Si certains carburent au SP95 ou au Diesel, l'essence même de Dunwall consiste dans le raffinement d'huile de baleine, un composé très instable mais qui alimente toute la ville et les industries en pleine révolution industrielle le tout baigné de mystère, de mysticisme sous la houlette des Superviseurs, sortent d'ambassadeurs religieux qui exercent leur dicta sur la masse populaire.

Corvo, c'est vous, se veut le protecteur et le confident de l'Impératrice et de sa fille Émily, mais vous voici désigné comme l'assassin de l'Impératrice sous le couvert d'un complot orchestré par des conspirateurs qui lorgnent depuis longtemps sur le pouvoir.

Si le scénario se résume en la chasse aux conspirateurs afin que vous retrouviez votre honneur et votre rang, ce serait simplifier l'histoire de ce héros, mais ce sera à vous de prendre les décisions en matière de lutte contre les imposteurs, vous aurez donc le choix avec souvent un conflit cornélien, exercerez-vous une tyrannie envers ceux qui vous ont trahi, ou serez-vous capable de pardonner et de donner la clémence.





Rappelez-vous qu'en matière de choix on opte quand même pour le moindre des maux, mais quand il s'agit de laver son honneur, la Loi du Talion est le plus doux des remèdes.

Dishonored joue sur ce registre de tempête sous un crâne ou chaque décision engendre des réactions positives ou négatives, vous avez vos propres convictions, alors faites le savoir, jamais un jeu vidéo n'a laissé autant de liberté à un joueur que Dishonored de Bethesda.

Dans votre périple, une fois évadé du bagne, grâce au support d'un petit groupe fidèle à l'Impératrice, vous rencontrerez l'Outsider qui vous donnera en cadeau une partie de son pouvoir, mais il vous faudra aussi chercher des Runes pour amplifier vos capacités dans de nombreux domaines, comme le saut, le pouvoir de possession, la faculté de ralentir le temps, etc.





Grâce au coeur de l'Outisider vous partirez à la recherche de ces Runes, nécessaires au renforcement de vos pouvoirs qui n'iront qu'en grandissant au fur et à mesure de votre progression dans l'histoire de Dishonored.

Tous les pouvoirs pourront être upgradés, pour les principaux comme la vision nocturne, vous permettra de voir au travers des murs et de repérer vos ennemis. Le Clignement sert de téléportation et vous garantit des sauts de géants pour atteindre les corniches des fortifications ou de sauter sur des ennemis par surprise.

Le Pli temporel
, servira à contracter le temps, ainsi dans une mêlée avec plusieurs adversaires vous aurez l'impression que le temps se ralentit et vous permettra de mieux les combattre.





La Possession
permet de s'incarner dans un animal ou un autre être humain. Seront aussi au tableau des pouvoirs,  la Nuée Vorace qui génère une horde de rats affamés, la Rafale projette tout ce qui se trouve face à vous pour déstabiliser vos ennemis.

Tous ces pouvoirs auront un impact sur votre façon de jouer, en combinant certains pouvoirs, vous deviendrez une véritable machine à tuer si bon vous semble ou alors un combattant silencieux qui étourdit ses ennemis sans verser le sang, aucun bord de fenêtres ou de remparts ne seront des obstacles, si un chemin semble boucher, comme le Portail électrifié, il y a toujours un moyen de contourner le problème.




Si la tendance des jeux issue du portage console a la fâcheuse habitude de vous canaliser sur un sentier bien balisé avec assistance du SAMU, ici vous serez confronté à vous même à réfléchir à la solution du salut, ainsi vous pourrez vous cacher dans un trou de souris pour passer inaperçu aux yeux des gardes, sauter d'une falaise sans trop de dommage, tout a été pensé pour vous offrir la parfaite immersion dans une situation donnée, c'est certain, au début on se pose des questions, mais l'expérience faisant, vous allez adorer cette liberté de penser et d'agir par vous même.

Dishonored fait aussi la part belle à l'exploration et ce serait dommage de vous en priver, il y a foule d'objets à glaner et à revendre afin de vous confectionner des armes de plus en plus dévastatrices, car avec vos ennemis, soyez sans pitié et il n'y a pas de riposte graduée, toutefois dans une mission, un PNJ vous demandera un service dans votre quête principale, comme épargner un membre de sa famille qui travaille pour les méchants, car lui est un homme non et bien souvent reste le dernier membre d'une famille, à vous de trancher dans le vif, ou dans le vide.





Dishonored se veut un monde ouvert, à vous de tracer votre voix, faites des choix, soyez imaginatif car ici c'est un monde de liberté totale, de l'exploration de la ville au franchissement d'obstacles comme le barrage ou escalader les hauts murs de la citadelle en passant aussi par les sous-sols à la recherche de caches secrètes, en passant par les caves humides où grouille la vermine, à vous de jouer et n'oubliez pas que vous possédez des pouvoirs, prenez possession d'un rat et faufilez-vous dans des trous de souris pour mieux surprendre vos adversaires, vous pouvez tout faire et tout envisager, votre seule limite sera celle de votre imagination.

Chaque situation sera donc à examiner avant d'agir, car dans Dishonored, il y a plusieurs façons d'envisager la solution au problème, de tueur né à Arsène Lupin, il y a toujours une voix et sachez que vous pouvez au détour d'une rue porter secours à un vieil homme ou à la veuve et l'orphelin, vos actes de bonté seront récompensés par des petits cadeaux qui quelquefois s'avèrent de précieuses Runes pour renforcer vos pouvoirs, alors laissez-vous guider par votre instinct d'Indiana Jones, vous ne le regretterez pas, c'est ici aussi que réside toute la magie et l'envoûtement de Dishonored.





Mais il ne faudrait pas croire non plus que Dishonored se veut une petite ballade de santé, sachez que que l'IA a été bien pensé, la moindre de vos erreurs vous condamnera au trépas, alors entre furtivité, passage en force ou en douceur, prenez le temps de respirer et d'envisager votre chemin pour garantir le succès de votre mission principale sans négliger les missions secondaires, les balles coûtent chères. En règle générale quand on se prend un "end-game", on recharge la Save précédente en se rappelant que c'est ce garde qui nous a surpris par dernière, alors à "malin malin, malin et demi". Sauf que là, au rechargement et bien le garde n'est plus au même endroit, mais à pris une nouvelle position, il vous faudra alors repenser votre stratégie.





Si les objectifs de missions semblent à la portée du premier venu, c'est de vous que je parle ici, et bien détrompez-vous, bien souvent il vous faudra faire des tours et des détours afin d'approcher la cible dans de meilleures conditions, d'autant plus que comme écrit plus haut, l'IA ne boit pas, possède un regard perçant, une ouie fine et porte des coups terrifiants.

Outre les nombreux ennemis qui vous feront face, il ne faudra pas en oublier non plus la faune environnante, comme les rats infestés par la peste et qui ont toujours faim, ainsi lors des combats, les rats se jetteront sur les cadavres pour les dévorer et s'ils n'ont rien à se mettre sous la dent, ils s'en prendront à vous.




Dans vos pérégrinations, vous serez peut-être amené à choisir la voix de l'eau pour remplir vos objectifs et bien sachez que là aussi la vermine grouille sous les eaux et vous attaquera tels des piranhas avides de sang et de chair fraîche.

Bien sûr pour les amateurs de non violence, ils pourront choisir d'effectuer leur mission sans cadavres ou dommages collatéraux, mais ce ne sera pas facile, surtout si vous souhaitez remplir les bonus, pour ma part j'ai choisi la voix royale de la violence et dans ce domaine, Dishonored fait la part belle aux combats, entre décapitations de têtes, éventrations des cibles hostiles et massacres des voyous et autres bandits des grands chemins sans distinctions de sexe (la parité étant de mise), les affrontements s'orchestrent comme des chorégraphies gores et dantesques.





Dishonored ne se joue pas comme un FPS classique où il faut trucider à tout va pour remplir ses objectifs, Dishonored fait la part belle à l'instinct, à l'intuition dans la décision de prendre tel ou tel chemin, alors prenez le temps de planifier vos entrées et sorties des battisses hostiles, il y a toujours un chemin des innocents qui vous conduira au salut, ce qui n'empêchera pas bien sûr de tomber sur des gardes plus aguerris que d'autres et qui vous attaqueront de face ou d'une manière perfide.

Comme rédigé plus haut, dans vos missions vous devrez faire des choix, tuer ou ne pas tuer un PNJ ou un ennemi, mais utiliser la violence grâce aux différents pouvoirs qui vous ont été attribués se révèlent aussi une méthode d'aborder le jeu, rappelez-vous aussi que ce sont vos ennemis qui ont contribué à votre déchéance et on fait de vous un assassin.





"Il n'y a pas de pouvoir sans violence et de violence sans cadavres" me disait mon maître.

Réfléchissez avant d'agir et surtout dans les combats où vous devez affronter de 5 à 8 gardes en même temps, car initialement, vous n'aurez aucune chance face à l'IA, c'est ici que prend alors tout le succès des pouvoirs que vous aurez développé, n'hésitez pas à jouer de vos pouvoirs surtout dans les mêlées, usez du Pli Temporel pour figer vos ennemis, du Clignement pour les approcher plus rapidement et tranchez dans le vif grâce à votre épée et à votre pistolet, le tout agrémenté de lancés de grenades et de pose de pièges.





Mais puissance des combats sans conscience ne serait que ruine de l'âme, alors pour parvenir à vos fins, ne négligez pas les ragots des gardes et autres Superviseurs qui n'hésitent pas à discuter entre-deux, certains se plaindront alors que d'autres aduleront le Régent, mais dans les deux cas, ces gardes vous livreront des indices précieux pour votre mission et ne négligez pas non plus les PNJ qui vous récompenseront si vous effectuez quelques taches pour leur propre compte.

Dishonored de Bethesda ne se jouera donc pas  comme un dératé, d'ailleurs je me suis même surpris à m'arrêter dans ma progression pour admirer le merveilleux travail des graphistes, Dishonored se veut riche en détails et c'est un régal d'apprécier un paysage bucolique avant de déclencher la tempête.




Conclusion :


Je dois faire ici mon mea-culpa. Au tout début de l'accès aux infos sur Dishonored, je parle ici de la genèse même du jeu, Bethesda nous avait bien distillé quelques informations, mais soit c'était trop peu et à la fois trop, mais je reconnais que d'entrée le jeu ne m'avait pas semblé accrocheur ou d'un intérêt certain. Un univers punk à l'époque de la révolution industrielle dans la période victorienne, alors que je préfère les univers post-atomiques ou médiévalo-fantastique, je passerais à coté de ce jeu.

Toutefois un jeu signé par Arkane sous la houlette de Bethesda me titillait l'esprit, on ne juge pas sur un simple aperçu, alors je me suis dit qu'il fallait que je me rende compte par moi-même de l'intérêt ou non de ce jeu à des années lumières des sentiers battus pas tant d'autres éditeurs.





Bien m'en pris alors d'avoir une nouvelle fois fait confiance à Bethesda (Fallout) et à Arkane (Arx-Fatalis m'avait scotché à mon écran) car Dishonored va vous immerger dans un univers si charismatique et si envoûtant où règne la magie, le mysticisme et la corruption, qu'embrasser le rôle d'un assassin malgré lui, à de quoi susciter l'intérêt d'un joueur et des autres.

Entre exploration de lieux grandioses, d'action passives ou actives, Dishonored jeu d'action et d'infiltration arbore aussi le coté RPG avec le custom des armes, armures et pouvoirs. Même si d'un coté on sent le portage console vers PC, je dois le reconnaître, Bethesda ne nous prend pas pour des "demeurés", mais nous laisse le choix et la liberté de faire et d'agir comme bon nous sommes dans le chemin choisi, avec à la clé toute une panoplie d'artifices d'aide à la réalisation de notre vengeance, mais les conseils sont toujours bon à prendre.





Autant le dire tout de suite, Dishonored marquera cette année 2012 et Bethesda remporte son pari osé d'avoir présenté un jeu magnifique aux antipodes de ce que l'on a l'habitude de voir et surtout en avant période de fêtes de fin d'année.

Bien sûr le scénario tient en quelques lignes, mais l'intrigue et le dénouement des missions apportent au jeu une dimension nouvelle, le tout baignant dans une musique et des dialogues bien fait

Dans la pure tradition de grands titres comme Deus-Ex, Fear ou Hitman, Dishonored doit faire partie de votre vidéo-ludotehque, de l'infiltration à la Sam Fisher et l'action à la Crisys, le jeu va vous tenir en haleine avec cette addiction d'en savoir toujours plus sur le devenir de la petite Emily et du destin de Dunwall.





"Tous les chemins mènent à Rome" me disait mon maître et bien cela n'a jamais été aussi vrai que dans Dishonored avec ce petit plus que c'est vous qui décider de la marche à suivre et pas un script dirigiste qui estompe la moindre réflexion.

Escalader une corniche, marcher sur un toit, passer par le trou d'une souris, déjouer les portes et autres systèmes d'alarmes en piratant les mécanismes, se téléporter avec la rage sur un garde ou dans une mêlée d'assaillants sous le pouvoir du Pli Temporel, contribuent à donner une immersion dans le jeu sans compter les milles et un façon d'arpenter son chemin pour laver son honneur dans la haine ou en étant magnanime, tout ici a été pensé et fait pour que le maître de Dunwall cela soit vous.




Dishonored, un univers où vous pouvez explorer chaque recoin, regorge de choses à découvrir et pas seulement les Runes, mais l'histoire principale s'agrément d'autres petites histoires des PNJ que vous pourrez vivre avec eux avec à la clé des récompenses souvent intéressantes pour le développement de vos pouvoirs.





Customisez votre personnage et vos équipements pour devenir plus fort, plus rapide, "100 fois sur le métier, remettre son ouvrage" me disait mon maître. Forgez votre expérience avec des aventures inédites, faites des choix, en aucun cas, on ne viendra contredire ou vous empêcher une approche différente car dans Dishonored, tout est permis et tout est possible.

Dishonored se taille alors une belle place parmi tous les hits passés et à venir et risque bien de faire mordre la poussière aux nouveaux titres pour Noël. Si certains chapitres du jeu vont vous occuper pendant des périodes d'une bonne heure, l'aventure file à la vitesse de la lumière. Si l'on en juge par le menus au démarrage du jeu, on pourra s'attendre à voir des DLC débarquer, et ça, ce sera pour notre plus grand plaisir.

Quant au devenir de la petite Emily et de Dunwall je vous laisse le soin de le découvrir.





Machine de test :


Test réalisé sur un PC Intel Core i5@3,67 GHz équipé de 8 Go de RAM DDR3 et d'une GTX 570 Phantom avec une résolution de 1650*1200, ratio de 10/16, options graphiques au maximum AA8 et Ani 12, sous Windows 7 Pro..





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