Le jeu vidéo est si varié sur Windows, qu'il y a longtemps que nous avons fait nos choix de genre, alors l'annonce d'un jeu dédié à la guerre ne nous avait franchement pas interloqué, bien qu'il soit issu d'un éditeur prolifique : Electronic-Arts, et bien Battlefield Bad-Compagny 2, nous a fait changer d'avis.

En matière de jeux vidéo, le FPS ( Mass-Effect 2), le RPG ( Dragon Age Origins), tiens que des titres Electronic-Arts, reste notre prédilection, alors la venue de Battlefield Bad-Compagny 2 d'Electronic-Arts/Dice, ne nous excitait pas vraiment, non pas que nous sommes des pacifistes, au contraire (Si Vis Pacem, Parabellum), mais bon "à défaut de grives, on mange des merles" et en dehors des combats spectaculaires du jeu, BF-BC2, nous a fait découvrir une ode à l'amitié dans l'horreur de la guerre, de quoi nous réconcilier avec le genre.
Dans BF-BC2, les héros sont déjà définis, 4 bad-boys issus d'un milieu peu recommandable, rempilent pour la bonne cause, celle de la liberté des peuples face à l'invasion d'une menace qui possèderait une arme de destruction massivement (non, ce n'est pas celles de Sadam Hussen).

La Bad-Compagny 2 regroupe donc, 4 compères rescapés d'anciennes missions (voire BF-BC1) et dans ce groupe si hétéroclite, ce sera donc vous, le chargé de sales besognes, entre raillerie, humour et combats apocalyptiques, Battlefield Bad-Compagny 2, ne fait pas dans la dentelle, du pur spectacle digne de la guerre du Golf médiatisée à outrance.
Dans BF-BC2 vous retrouvez donc l'équipe de départ, à savoir, le sergent Redford, Sweet (Sweetwater), Haggard, et Marlowe, chacun ayant son rôle au sein de la Bad-Compagny, il vous faudra supporter bien des épreuves sur le terrain au risque de vous faire dessouder au moindre moment, mais heureusement, vos compagnons sont là pour vous épauler, tout un chacun, prenant soin de l'autre et réciproquement.
Battlefield Bad-Compagny 2, c'est avant tout une histoire d'hommes confrontés à la dure réalité de la guerre, mais c'est surtout une belle histoire d'amitié où le conflit cornélien (bien que dirigé) apporte une touche d'humanité.
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